La rue Blondel, située dans les 2e et 3e arrondissements de Paris.
Elle doit son nom à la proximité de la porte Saint-Denis, construite en 1672 par François Blondel.
Cette rue est historiquement un haut lieu de la prostitution parisienne.
Cette rue est un ancien chemin qui longeait les remparts de l'enceinte de Charles V ; elle est appelée « rue des Deux-Portes » au XVIe siècle, puis « rue Neuve-Saint-Denis » en 1655 et prend son nom actuel par décret du .
Cette rue est évoquée dans une chanson de Georges Brassens, Le Pornographe : « S'il vous plaît de chanter les fleurs, qu'elles poussent au moins rue Blondel, dans un bordel. » Ce passage de la chanson fait allusion à la maison de passe nommée Aux Belles Poules.
Le chanteur Boris Santeff lui a consacré un titre sur son album sorti en 1977.
Cette référence apparait également de la chanson de Booba, Turfu : « T'as ton studio rue d'Blondel, j'ai le mien à Fort Lauderdale. »
Elle est également citée dans Le Grand Pardon 2 d'Alexandre Arcady : « Oui, mais aussi Raymond Bettoun l'ancien exploiteur des filles de la rue Blondel, le plus grand proxénète de France. »
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