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Jx (digramme)


Jx (digramme)


Jx (minuscule jx) est un digramme de l'alphabet latin composé d'un J et d'un X.

Linguistique

  • En espéranto, le digramme « jx » sert à remplacer la lettre « Ĵ » en cas d’impossibilité d’utiliser cette lettre (par exemple si elle n’est pas disponible sur le clavier).

Représentation informatique

Comme la majorité des digrammes, il n'existe aucun encodage de Jx sous un seul signe, il est toujours réalisé en accolant un J et un X.

Notes et références

Articles connexes

  • Digramme
  • Lettres supplémentaires de l'alphabet latin
  • Portail de l’écriture


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JX


JX


JX peut faire référence à :

  • Jx, un digramme de l'alphabet latin,
  • Lexus JX, une automobile de Lexus attendue en 2008,
  • Roland JX-3P, un synthétiseur analogique programmable,
  • JX, un système d'exploitation à micronoyau implémenté en Java,

Voir aussi

  • J10

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Ll (digramme)


Ll (digramme)


Ll (minuscule ll) est un digramme qui apparaît dans plusieurs langues, notamment l'espagnol, le catalan, l'albanais, le féroïen ou encore l'islandais. Le ll espagnol ne possède plus sa propre entrée dans le classement alphabétique, au contraire de l'albanais (Et ce depuis la refonte du classement alphabétique en 1994, voir Classement alphabétique en espagnol).

Utilisation

En castillan, catalan et ancien français, ‹ ll › représente un /l/ palatal [ʎ] en API (en français, le /l/ palatal s'est réduit à [j] dès le XIIIe siècle dans la langue populaire, au XVIIIe dans la langue normée). Dans certaines régions, le ‹ ll › espagnol est prononcé [j], plus rarement [ʒ]. En écriture manuscrite, ‹ ll › est écrit comme une ligature de deux ‹ l ›, avec une forme différente pour la majuscule et la minuscule. Il existe en catalan un /l/ géminé, qu'on écrit alors ‹ l·l ›, avec un point médian, pour le distinguer du /l/ palatal. Enfin, le /l/ palatal géminé est écrit ‹ tll › (pour mémoire, le /l/ simple géminé peut aussi être écrit ‹ tl ›).

En albanais, le digramme ‹ ll › représente un /l/ vélarisé, [ɫ], alors qu'un simple ‹ l › représente un [l] simple. Le digramme a la valeur d'une lettre pleine dans le classement alphabétique, rangé après l simple.

En gallois, ‹ ll › est une consonne fricative latérale alvéolaire sourde [ɬ] (ayant sa propre place dans le classement alphabétique), anciennement écrite avec la ligature double L ‹ ỻ ›.

En islandais, ‹ ll › représente le son /tl/, notamment dans bolli (tasse), fjöllin (montagne), ou encore Þingvellir.

Références

Voir aussi

  • Classement alphabétique en espagnol,
  • Liste de toutes les combinaisons de deux lettres,
  • Portail de l’écriture

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Nj (digramme)


Nj (digramme)


Nj (minuscule nj) est un digramme de l’alphabet latin, composé des lettres N et J.

Linguistique

Le digramme ‹ nj › est utilisé par diverses langues pour noter des sons différents :

  • en croate et en Serbe (alphabet Latin) pour transcrire une consonne palatale nasale (représentée par [ɲ] dans l'API), c’est la vingtième lettre de l’alphabet croate et serbe, situé après « N » et avant « O ». En début de phrase, la capitalisation de la lettre est « NJ » ; lorsque la lettre est au début d'un nom propre, le « j » n'est pas écrit en majuscule ;
  • en moussey pour transcrire la consonne [n͡ʒ] ;
  • En albanais, le digramme « nj » correspond au son [ ɲ]. Il est considéré comme une lettre à part entière et est placée entre N et O.

Histoire

En croate, le digramme nj a été conçu pour correspondre à la lettre « Њ » de l'alphabet cyrillique, utilisée pour écrire le serbe. Aujourd'hui, les digrammes du croate sont de moins en moins utilisés, au profit des deux lettres écrites séparément.

Représentation informatique

Le digramme ‹ nj › possède plusieurs représentations Unicode, il peut être composé en accolant les lettres N et J, ou avec des caractères qui lui sont propres pour des raisons de compatibilité avec des anciens codages.

Voir aussi

  • Lettres supplémentaires de l'alphabet latin
  • Digramme
  • DŽ
  • LJ
  • Portail de la linguistique
  • Portail de l’écriture


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IJ (digramme)


IJ (digramme)


IJ (minuscule : ij, aussi parfois IJ et ij) est un digramme ou monogramme utilisé en néerlandais et un digramme en utilisé en frison occidental. Le monogramme ‹ IJ, ij › provient de la ligature du digramme.

En néerlandais

IJ est utilisée pour représenter la diphtongue néerlandaise [ɛi̯]. Quand elle n'est pas accentuée, IJ se prononce comme un schwa, une voyelle moyenne centrale [ə]. On l'appelle parfois « IJ long », par opposition au « ij court » noté ei et prononcé de la même façon dans la plupart des dialectes néerlandais. Il est aussi appelé « I long » car il était anciennement prononcé comme un i long [] ou l’est encore dans certains dialectes du néerlandais.

Au début d'une phrase ou d'un nom propre, le J de IJ est écrit en capitale : IJssel, IJmuiden, IJsland.

On note, dans certaines régions des Pays-Bas, une tendance à le prononcer [aɪ] ou [aːɪ],.

Dans le nord de la France et en Flandre occidentale, certains locuteurs du flamand occidental privilégient le son [i], retrouvé en moyen néerlandais comme [iː] avant sa diphtongaison en [ii̯], [ɪi̯], [ei̯] et finalement [ɛi̯]. Cette tendance à la iotisation peut même se traduire par une graphie remplaçant le « -y » final par un « -ie » (« i » long). Le mot bakkerij (« boulangerie ») pourra donc tout aussi bien s'écrire bakkery que bakkerie. On retrouve parfois cette tendance aux Pays-Bas dans l'utilisation d'enseignes : De Bakkerie.

Classement alphabétique

De nos jours, IJ est souvent classée comme la lettre Y, entre X et Z. Par exemple dans les pages jaunes aux Pays-Bas, les noms avec IJ sont triés comme les noms avec Y. Pour certains, IJ est une lettre remplaçant la lettre Y dans l’alphabet : en néerlandais, Y n'apparaît que dans des emprunts ou dans des formes archaïques et est appelé ypsilon, Griekse IJ ou I-grec (emprunt au français). Inversement, Y remplace habituellement IJ en afrikaans.

Un grand nombre de bibliothèques suivent, dans leurs catalogues, les recommandations de P. A. Tiel de 1912 adoptées officiellement aux Pays-Bas en 1937, classant le ij avec y,,. Ce classement est aussi repris par le Nederlandsch Insituut voor Efficiency dans ABC-Regels : Handleiding voor het alfabetisch rangschikken publié en 1936 et réédité par le Nederlands Instituut voor Documentatie en Registratuur en 1966.

Toutefois, de nombreux dictionnaires, comme le dictionnaire Van Dale, ou les pages jaunes en Flandre utilisent un ordre alphabétique dissociant le digramme en i-j. Ainsi, le mot ijs (glace) se trouve entre iglo et ik, et non plus entre le x et le z. De même, kijken se placera avant kil.

Au XVIIe siècle, Wigardus à Winschooten utilise la lettre IJ classée comme le I, ou le J lui aussi classé comme le I, dans le dictionnaire de termes maritimes Seeman publié en 1681.

Au XVIIIe siècle, par exemple, David van Hoogstraten utilise la lettre Y dans la première édition de son dictionnaire de noms propres publié en 1700, et utilise ensuite la lettre IJ dans la deuxième édition publiée en 1711 et la classe avec la lettre i, tout comme la lettre j. Cet ordre est repris par Adriaan Kluit dans la réédition de 1759,.

Au XIXe siècle, Matthias de Vries et Lammert Allard te Winkel classent aussi les mots avec IJ avec les mots avec I dans Woordenlijst voor de spelling der Nederlandsche taal, définissant l’orthographe officielle, publié en 1866. Le Woordenlijst Nederlandse Taal utilise aussi cet ordre alphabétique depuis sa première édition en 1954.

L’encyclopédie Winkler Prins a classé le IJ avec Y de la troisième édition de 1905-1912 à la sixième édition de 1947-1954. Dans la septième édition de 1966-1975, le IJ est classé avant le Y et dans la huitième édition de 1979-1984 ils sont de nouveau ensemble. Cette encyclopédie avait classé le IJ avec I dans ses deux premières éditions publiées de 1870 à 1882 et de 1884 à 1888.

La norme NEN 2296, Handschrift voor het lager onderwijs Schrijfletters en cijfers, publiée en 1958, inclut le ij et la classe avant la lettre y dans les listes de minuscules et de majuscules. Les tableaux de l’alphabet d’écritures scolaires comme ceux de Jacob Dijkstra ou Tazelaar utilisés aux Pays-Bas incluent aussi le ij à la place de la lettre y. D’autres tableaux comme ceux des méthodes d’écriture scolaire Broeders & Schneider ou d’Haese utilisés en Belgique néerlandophone n’incluent pas le ij ni d’autres digrammes et incluent la lettre y.

Histoire

Au Moyen Âge et à la Renaissance, le digramme double i ‹ ii › représentant un i long est traditionnellement transcrit ‹ ij › avec un deuxième i allongé d’un crochet — à l’époque le j n’est pas encore une lettre à part entière représentant un son différent mais est traditionnellement utilisé pour terminer une suite de i.

Au XVIIe siècle, l’orthographe néerlandaise commence à se normaliser. Elle était auparavant aussi variée que les différents dialectes régionaux. De manière générale, le ij et y sont utilisés pour transcrire des sons différents. À cette époque, pour Milde, le i court entre deux consonnes est transcrit ‹ y ›, comme bynnen, et celui-ci est aussi utilisé en combinaison avec d’autres voyelles comme semi-consonne ou dans les diphtongues. Le i long d’aujourd’hui est transcrit ‹ ij ›, comme ijmand ou brijven. La Bible des États, traduction en néerlandais de la Bible, adoptée par l’Église réformée, permet une normalisation de l’orthographe et sa diffusion.

La diphtonguisation du ij [iː] en [ɛi] se produit à partir du XIVe siècle dans le Brabant et n’est pas complète en Hollande avant le XVIIe siècle. La diphtonguisation n’a pas eu lieu dans tous les dialectes néerlandais, seuls les dialectes du Brabant, de la Hollande (à l’exception de quelques îles) et certaines parties d’Utrecht ont complété ce processus.

C’est au XIXe siècle qu’une prononciation standard se répand. Matthijs Siegenbeek établit les bases de l’orthographe néerlandaise actuelle dans Verhandeling over de Nederduitsche spelling ter bevordering van de eenparigheid in dezelve publié en 1804. Ces règles sont adoptées officiellement par la République batave en 1804, ce qui n’avait jamais été fait jusqu’alors. Siegenbeek publie le Woordenboek voor de Nederduitsche spelling en 1805. Siegenbeek utilise le ‹ ij › dans les mots qui utilisaient précédemment des graphies variées avec ‹ ij › ou ‹ y ›, et ce dernier ne se retrouve plus que dans les mots étrangers.

Aujourd'hui, ij est prononcé comme ei, à l'exception du suffixe -lijk, où il est prononcé comme un schwa [lək], et [i] dans certains mots comme bijzonder prononcé [biˈzɔn.dəɾ], dans certains toponymes comme Wijchen [ˈʋiχən] et Wijlre [ˈʋilreː] ou [ˈʋilrə], ou dans certains noms de familles comme van der Sijs [vɑn dər siːs].

Formes accentuées

Avant l’orthographe officielle de 1995, l’emphase était indiquée par certains auteurs avec l’accent aigu pour l’accent tonique sur les voyelles longues et l’accent grave pour l’accent tonique sur les voyelles courtes. Certains auteurs utilisaient respectivement ‹ íj › et ‹ ìj ›, d’autres ‹ íj́ › et ‹ ìj̀ ›, ou encore d’autres ‹ ij́ › et ‹ ij̀ › (avec les points sur les i et j).

Depuis l’orthographe officielle de 1995, l’accent tonique doit être uniquement indiqué avec l’accent aigu, autant pour les voyelles courtes que les voyelles longues, sur la lettre de la voyelle ou les deux premières lettres des voyelles composées de plus d’une lettre. Cependant, pour des raisons techniques, l’accent aigu du j du digramme est généralement omis, ‹ íj́ › est le plus souvent écrit ‹ íj ›, par exemple ‹ blíjven kijken! › plutôt que ‹ blíj́ven kijken! ›.

En frison occidental

En friston occidental, aucun mot ne commence avec ij, mais il est présent dans ou un fin de certains mots, et n’est pas considéré comme une lettre à part entière mais comme un digramme composé des lettres i et j,.

Lorsque l’accent tonique est indiqué, par exemple pour indiquer l’emphase, seul le i de ij prend l’accent aigu ‹ íj ›, par exemple ‹ fíj, sa net! ›, contrairement aux autres voyelles où les deux premières lettres des graphèmes prennent chacune un accent aigu.

Représentation informatique

La norme NEN 1888, Algemene Persoonsgegevens, Definities, tekensets en uitwisselingsformats utilisée pour le registre national des personnes aux Pays-Bas prescrit l’usage du digraphe ij (i+j) et proscrit l’usage du caractère unique ij.

Le digramme IJ possède les représentations Unicode suivantes :

  • caractères utilisés couramment :
  • caractères de compatibilité avec d’anciens codages (ISO 5426, ISO/CEI 6937) :

Notes et références

Bibliographie

  • (fy) « 3.2.4.10 /ɛi̯/ », sur Frysker Paadwizer (consulté le )
  • (fy) « 4 Diakrityske tekens », sur Frysker Paadwizer (consulté le )
  • (nl) « ij-y », sur Nederlandse Familiebank (consulté le )
  • (nl) « Ijsland / IJsland », sur Taaladvies, Nederlandse Taalunie, (consulté le )
  • (nl) « IJ - alfabetiseren », sur Taaladvies, Nederlandse Taalunie, (consulté le )
  • (nl) De Taalunie, « 5.1 Klemtoonteken », sur Woordenlijst.org,
  • (nl) De Taalunie, Technische Handleiding : Regels voor de officiële spelling van het Nederlands, De Taalunie, (lire en ligne)
  • (nl) Battus, Opperlandse taal- & letterkunde, Amsterdam, Querido, (ISBN 9021451328, lire en ligne)
  • A. J. de Mooy, « De discriminatie van de ij », Open, vol. 4, no 5,‎ , p. 297-299
  • (nl) Matthias de Vries et L. A. te Winkel, Woordenlijst voor de spelling der Nederlandsche taal, ’s-Gravenhage, Leiden et Arnhem, Martinus Nijhoff, A. W. Sijthoff et D. A. Thieme, (lire en ligne)
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  • (nl) K.H. Heeroma, « De plaats van de ij in het Nederlandse alfabet », Tijdschrift voor Nederlandse Taal- en Letterkunde, vol. 84,‎ (lire en ligne)
  • (nl) Hans Heestermans, « IJ », NRC Handelsblad,‎ (lire en ligne)
  • (nl) Bas Mesters, « IJ? », De Volkskrant,‎ (présentation en ligne, lire en ligne)
  • (en) Wouter E. Milde, « Guidelines for the transcription of 17th century Dutch manuscripts », 東京大学史料編纂所研究紀要 (=Bulletin de l’Institut historiographique de l'université de Tokyo), no 19,‎ , p. 19‒32 (lire en ligne)
  • (nl) Rijkscommissie van Advies inzake het Bibliotheekwezen, Regels voor de alfabetische rangschikking der titelbeschrijvingen volgens hoofdwoorden

Coauteur, Uitgeversfonds der Bibliotheekvereenigingen, (lire en ligne)

  • (nl) Rik Schutz, « ...X, IJ, Y, Z », Onze Taal, vol. 64,‎ , p. 140-141 (lire en ligne)
  • (nl) Jan Stroop, « Diffuse diftongering », De Nieuwe Taalgids, vol. 74,‎ , p. 1-16 (lire en ligne)
  • (nl) Jan Stroop, « “Maar ’t is eigenlijk Oleislagers” », Neerlandistiek,‎ (lire en ligne)
  • (nl) Jan Stroop, « Waarom ze in West-Brabant ‘spieker’ bleven zeggen », Neerlandistiek,‎ (lire en ligne)
  • (nl) P.A. Tiele, Regels voor den alphabetischen catalogus : ("De regels van Tiele"), Leiden, Universiteits-Bibliotheek, (lire en ligne)
  • (nl) David van Hoogstraten, Aenmerkingen over de geslachten der zelfstandige naemwoorden, Amsterdam, François Halma, (lire en ligne)
  • (nl) David van Hoogstraten, Aenmerkingen over de geslachten der zelfstandige naemwoorden, Amsterdam, Dominicus vander Ameyden, (lire en ligne)
  • (nl) David van Hoogstraten et Adriaan Kluit, Lijst der gebruikelijkste zelfstandige naamwoorden, beteekend door hunne geslachten, Amsterdam, Pieter Meijer, (lire en ligne)
  • (en) Marc van Oostendorp, « Topics in the phonology of Dutch », (consulté le )
  • (nl) Nicoline van der Sijs, « Etymologica : De korte ei en de lange ij », Onze Taal, vol. 73,‎ , p. 130 (lire en ligne)
  • (nl) J. W. van Wingen, « De ij is één letter », Onze Taal, vol. 78,‎ , p. 269 (lire en ligne)
  • (nl) Willemijn Zwart, De ie-ij-regel als didactisch hulpmiddel in het ies-gebied : De inzet van het Nedersaksisch om het leren van spelambigue woorden met ei of ij in het basisonderwijs te scaffolden onderzocht, (présentation en ligne, lire en ligne)

Voir aussi

  • Lettres supplémentaires de l'alphabet latin
  • Portail de la linguistique
  • Portail de l’écriture
  • Portail des langues germaniques

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Liste de digrammes et trigrammes


Liste de digrammes et trigrammes


Cet article constitue une liste regroupant les digrammes et trigrammes par langue, ces dernières étant classées par ordre alphabétique.

Albanais

Allemand

Anglais

  • ai et ay correspondent principalement à la diphtongue [ei].
  • ch, correspond généralement à [ t͡ʃ ], moins souvent à [ ʃ ].
  • ck correspond à [k].
  • ea, ie et ei correspondent principalement à [i].
  • ee correspond à [i].
  • gh correspond à [f].
  • kn correspond à [n].
  • ll correspond à [l].
  • ng correspond à [ŋ] ou à [ŋg] (consonne nasale vélaire voisée)
  • oo correspond à [u].
  • ph correspond à [f].
  • pn correspond à [n] en début de mot ou de morphème.
  • ps correspond à [s] en début de mot ou de morphème.
  • pt correspond à [t] en début de mot ou de morphème.
  • sh correspond à [ ʃ ].
  • th correspond généralement à [θ] ou [ð].
  • ue correspond à [u].
  • wh correspond à [ʍ] (voir Ƕ).

Basque

  • tx correspond à [tʃ].

Breton

  • correspond à [ɑ̃ː] ou [ã]
  • ch correspond, hors cas de mutation adoucissante ou de voisement final, à [ʃː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne ou rien (finale de mot), à [ʃ] en dehors de l’accent ou lorsque le mot se poursuit par une consonne, et à [ʒ] dans le cas d’une mutation adoucissante ou en finale selon le mot qui suit.
  • cʼh correspond à [x(ː)], [ɣ] ou [h].
  • correspond à [ẽː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne courte, une voyelle ou rien (finale de mot), à [ẽ] ou [ɛ̃] en dehors de l’accent ou devant une consonne longue.
  • eu correspond à [øː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne courte, une voyelle ou rien (finale de mot), à [ø] ou [œ] en dehors de l’accent ou devant une consonne longue.
  • euñ correspond à [œ̃ː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne courte, une voyelle ou rien (finale de mot), à [œ̃] en dehors de l’accent ou devant une consonne longue.
  • ʼf correspond à [f̬], son intermédiaire entre [f] et [v], ce digramme, inusité dans la graphie standard, est parfois en usage en initiale de mot en graphie dite universitaire, mais cette dernière est de moins en moins employée.
  • gn correspond à [ɲː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une voyelle ou rien (finale de mot), à [ɲ] en dehors de l’accent ou devant une consonne.
  • ilh correspond à [ʎː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une voyelle ou rien (finale de mot), à [ʎ] en dehors de l’accent ou devant une consonne.
  • correspond à ː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne courte, une voyelle ou rien (finale de mot), à [ĩ] en dehors de l’accent ou devant une consonne longue.
  • ll correspond à [lː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une voyelle ou rien (finale de mot), à [l] en dehors de l’accent ou devant une consonne.
  • mm correspond à [mː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une voyelle ou rien (finale de mot), à [m] en dehors de l’accent ou devant une consonne.
  • nn correspond à [nː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une voyelle ou rien (finale de mot), à [n] en dehors de l’accent ou devant une consonne.
  • correspond à [ɔ̃ː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne courte, une voyelle ou rien (finale de mot), à [ɔ̃] en dehors de l’accent tonique ou devant une consonne longue.
  • ou correspond à [u(ː)] ou [w(ː)].
  • rr correspond à [rː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une voyelle, à [r] en dehors de l’accent, lorsque le mot se poursuit par une consonne ou en finale de mot.
  • sh correspond à [s(ː)] en KLT, et à [h(ː)] ou est muet selon les parlers en vannetais.
  • correspond à [ũː] sous l’accent tonique lorsque le mot se poursuit par une consonne courte, une voyelle ou rien (finale de mot), à [ũ] en dehors de l’accent tonique ou devant une consonne longue.
  • zh correspond à [z] en KLT, et à [h(ː)] en vannetais.

Catalan

  • ig correspond à [ t͡ʃ ] en fin de mot et après une voyelle.
  • ix correspond à [ ʃ ] après une voyelle.
  • gu correspond à [g] devant e ou i.
  • ll correspond à [ʎ].
  • l·l correspond à [ll].
  • ny correspond à [ ɲ].
  • qu correspond à [k] devant e ou i.
  • rr correspond à [r] entre deux voyelles.
  • ss correspond à [s] entre deux voyelles.
  • tg correspond à [ d͡ʒ] devant e ou i.
  • tj correspond à [ d͡ʒ] devant a ou o ou u/
  • ts correspond à [t͡s].
  • tx correspond à [ t͡ʃ ].
  • tz correspond à [d͡z].

Corse

  • ch correspond à [k] et est uniquement utilisé avant e et i.
  • chj correspond à [c].
  • dd correspond à [ɖ] et est uniquement présent dans le sud de la Corse (quelques exceptions existent).
  • gh correspond à [g] et est uniquement utilisé avant e et i.
  • ghj correspond à [ɟ].
  • gl correspond à [ʎ] avant i.
  • gn correspond à [ɲ].
  • sc correspond à [ʃ] avant e et i et correspond à [sk] avant d'autres lettres.
  • sg correspond à [ʒ] avant e et i et correspond à [sg] avant d'autres lettres.

Espagnol

  • ch correspond à [ t͡ʃ ].
  • gu correspond à [g] devant e, i ou y.
  • ll, correspond à [ʎ].
  • qu correspond à [k].
  • rr correspond à [r] entre deux voyelles.d

Espéranto

Pour l'espéranto, contrairement aux autres langues, il ne s'agit pas digrammes mais d'un moyen permettant d'écrire les lettres accentuées au moyen d'un clavier n'en disposant pas.

Français

Gallois

  • ch correspond à [χ].
  • dd correspond à [ð].
  • ff correspond à [f].
  • ll correspond à [ɬ].
  • ng correspond à [ŋ].
  • ph correspond à [f].
  • rh correspond à [r̥].
  • th correspond à [θ].

Grec ancien

  • ει (ei) correspond à [eː].
  • ου (ou) correspond à [oː].

Grec moderne

  • αι (ai) correspond à [ɛ].
  • ει (ei) correspond à [i].
  • γκ (gk) correspond à [g].
  • μπ (mp) correspond à [b].
  • ντ (nt) correspond à [d].
  • οι (oi) correspond à [i].
  • ου (ou) correspond à [u].

Groenlandais

  • gg correspond à ː].
  • rl correspond à ː].
  • rn correspond à [ɴ].
  • rp correspond à [pː].
  • rs correspond à [sː].

Hongrois

Irlandais

Remarques :

  • Il existe des prononciations irrégulières de dh, gh et th dans certaines formes verbales.
  • Rh est parfois utilisé dans le Munster pour représenter la lénition du ‹ r › initial ([ɾʲ]).

Italien

  • ch correspond à [k] et est uniquement utilisé avant e et i.
  • gh correspond à [g] et est uniquement utilisé avant e et i.
  • gl correspond à [ʎ] avant i (il existe quelques exceptions).
  • gn correspond à [ ɲ].
  • sc correspond à [ ʃ ] avant e et i, mais à [sk] devant d'autres lettres.

Néerlandais

  • aa correspond à [a].
  • ch correspond à [ x].
  • ee correspond à [e].
  • eu correspond à [ø].
  • ie correspond à [i].
  • ij correspond à [ɛɪ] ou [eɪ].
  • ng correspond à [ŋ].
  • oe correspond à [u].
  • oo correspond à [o].
  • sj correspond à [ ʃ ].
  • ui correspond à la diphtongue [œy].
  • uu correspond à [y].

Occitan

  • aa correspond à [a] (c'est un graphème typique du dialecte vivaro-alpin).
  • ai correspond à [aj] (régionalement: [aj] en position tonique et [ej] en position atone).
  • ao correspond à [ɔw] (c'est un graphème typique du dialecte vivaro-alpin).
  • aoi correspond à [ɔj] (c'est un graphème typique du dialecte vivaro-alpin).
  • au correspond à [aw] (régionalement: [aw] en position tonique et [ɔw] en position atone).
  • ch correspond à [tʃ ] (régionalement: [ts]).
  • correspond à [ jɛ] (régionalement: ie [ je]).
  • ish (après voyelle) correspond à [ ʃ ] (c'est un graphème typique du dialecte gascon).
  • lh correspond à [ʎ] (régionalement: [ j]).
  • nh correspond à [ ɲ].
  • n·h correspond à [n.h] (c'est un graphème typique du dialecte gascon).
  • correspond à [ɥɛ] (régionalement: ue [ɥe, œ, we]).
  • correspond à [ jɔ] ou plus rarement à [ɥɔ].
  • sh correspond à [ ʃ ].
  • s·h correspond à [s.h] (c'est un graphème typique du dialecte gascon).
  • tg (devant e, i) correspond à [dʒ] (régionalement: [dz]).
  • th correspond à [t] (c'est un graphème typique du dialecte gascon).
  • tj (devant a, o, u) correspond à [dʒ] (régionalement: [dz]).

Picard et wallon

  • gh correspond à [g] devant e, i, y (équivalent de gu en français).
  • xh correspond à [h] (H aspiré dans certains parlers wallons. (Xhendelesse, Xhendremael, Droixhe, etc.)

Polonais

  • ch correspond à [ x].
  • cz correspond à [ t͡ʃ ].
  • dz correspond à [d͡z].
  • correspond à [ɖ͡ʐ ].
  • correspond à [ d͡ʒ].
  • rz correspond à [ ʒ].
  • sz correspond à [ ʃ ].

Portugais

  • ãe et ãi correspondent à [ɐ̃ĩ̯].
  • an, am et ân correspondent à [ɐ̃].
  • ão correspond à [ɐ̃ũ̯].
  • ch correspond à [ ʃ ].
  • en, em et ên correspondent à [ẽ].
  • gu correspond à [g] devant e ou i.
  • in, im et ín correspondent à [ĩ]
  • lh correspond à [ʎ].
  • nh correspond à [ ɲ].
  • on, om et ôn correspondent à [õ]
  • qu correspond à [k] devant e ou i.
  • rr correspond à [ʁ] entre deux voyelles.
  • ss correspond à [s] entre deux voyelles.
  • un, um et ûn correspondent à [ũ].

Serbe et croate

  • lj correspond à [ʎ].
  • nj correspond à [ ɲ].
  • correspond à [ d͡ʒ].

Sorabe

  • bj correspond à [bʲ].
  • pj correspond à [pʲ].
  • mj correspond à [mʲ].

Suédois

  • ck correspond à [k].
  • dj, hj et lj correspondent à [ j]
  • kj et tj correspondent à [ç].
  • sch, sj, skj et stj correspondent à [ ʃ ].
  • sk correspond à [ ʃ ] devant e, i, y, ä ou ö (mais à [sk] devant d'autres lettres).

Tchèque

  • ch correspond à [ x].
  • correspond à [ d͡ʒ] ; utilisé principalement dans des mots d'origine étrangère (džem [ d͡ʒɛm], confiture).

Thaï (transcription)

  • kh correspond à [kʰ].
  • ng correspond à [ŋ].
  • ph correspond à [pʰ].
  • th correspond à [tʰ].
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Text submitted to CC-BY-SA license. Source: Liste de digrammes et trigrammes by Wikipedia (Historical)



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