La terre de Guise, en Picardie, est d'abord une chatellenie formée autour du château fort de Guise (actuel département de l'Aisne), construit vers 950 par Gautier Ier, comte d'Amiens, de Vexin et de Valois.
Jusqu'en 1058, le château est sous la garde d'un officier non héréditaire. En 1058, est nommé Gautier, le premier à transmettre Guise à son fils. La terre de Guise est érigée en comté vers 1420 au profit de René d'Anjou.
Dans le nom de la ville et de la seigneurie (terre) de Guise, la lettre « u » est prononcée ([gɥiz]).
En revanche, quand on parle des ducs de Guise et de la maison de Guise du XVIe siècle, on ne prononce pas le u ([giz]), bien qu'il s'agisse toujours de la ville de Guise.
Les comtes de Vermandois[pas clair] confient d'abord la terre de Guise à des châtelains non héréditaires, entre autres (liste lacunaire) :
Le roi de France Charles VII érige la terre en comté.
Cette période correspond à des luttes entre diverses lignées, qui profitent de la guerre de Cent Ans pour monnayer leur ralliement et pour se faire attribuer Guise, qui occupe une position stratégique entre le royaume de France et les Pays-Bas en cours d'unification par les ducs de Bourgogne.
Les prétentions de la maison de Luxembourg viennent de Guy IV de Châtillon-St-Pol, frère cadet d'Hugues II de Blois, seigneur de Guise. Les Luxembourg estiment que Guy aurait dû hériter de Guise à la place de son frère aîné. Guise leur aurait alors été transmis par héritage, la petite-fille de Guy IV, Mahaut de Châtillon comtesse de St-Pol, ayant épousé en 1354 Guy de Luxembourg, comte de Ligny. Leur petit-fils Jean II de Luxembourg se fait attribuer le château par les Anglais et le prend d'assaut en 1425.
Charles d'Anjou, frère de René d'Anjou, réclame Guise en 1440 et épouse en 1443 Isabelle de Luxembourg, sœur de Louis. Finalement le roi Charles VII lui attribue Guise, mais les Lorraine, descendants de René revendiqueront Guise à leur tour.
Peu après son avènement, Charles VIII fit cession du comté de Guise à Jean d'Armagnac et à son frère Louis, neveux de Charles V d'Anjou par leur mère Louise d'Anjou. En 1491, Jean ayant reçu du roi le duché de Nemours, Louis eut le comté de Guise.
Sa succession échut à l'aînée de ses sœurs, Marguerite d'Armagnac (épouse de Pierre de Rohan-Gié), et enfin à leur sœur Catherine d'Armagnac (épouse de Charles de Rohan-Gié, issu du 1er mariage de Pierre avec Françoise de Penhoët).
René II de Lorraine, fils de Yolande d'Anjou et ainsi petit-fils de René Ier d'Anjou, fit valoir ses droits à Guise à partir de la mort de son grand-père en 1480; un procès l'opposa alors au précédent. Il mourut en 1508, léguant toutes ses possessions françaises à son second fils Claude de Lorraine. Celui-ci accompagna François Ier à Marignan, et se vit accorder en 1520 le comté de Guise par le Parlement de Paris.
François Ier, roi de France, érige la terre de Guise en duché-pairie en 1528.
À sa mort et par l'extinction dans les mâles de la branche aînée de la maison de Lorraine-Guise, le titre de duc de Guise revient à la Couronne, qui le confère à Henri Jules de Bourbon, prince de Condé, époux d'Anne de Bavière (1648-1723), cousine au septième degré* de Marie de Lorraine-Guise et l'une de ses héritières. Il se transmet ensuite dans leur descendance, jusqu'à la Révolution.
* par les Gonzague-Clèves-Nevers : François de Guise eut pour fils cadet Charles, duc de Mayenne, dont la fille Catherine épousa Charles Ier de Gonzague-Clèves, duc de Nevers puis de Mantoue, d'où Anne-Marie, femme d'Édouard de Bavière, prince Palatin et mère d'Anne de Bavière).
À sa mort, ses biens passent par testament à son petit neveu, Henri d'Orléans, duc d'Aumale, fils du roi des Français, Louis-Philippe Ier. Ses héritiers considèrent qu'ils peuvent user des différents titres, dits de courtoisie, de la maison de Condé, y compris celui de duc de Guise.
La liste des seigneurs puis princes de Joinville recense les titulaires de la seigneurie de Joinville, érigée en principauté en 1551 par le roi de France Henri II pour la famille Guise. La principauté de Joinville se situait en Champagne, dans l’actuelle Haute-Marne.
Fin de la ligne mâle directe
Fin de la deuxième ligne mâle
La seigneurie de Joinville est érigée en Principauté par Henri II en 1551
Au XIe siècle, Étienne de Vaux fit construire un château-fort sur la colline surplombant le bourg. Au siècle suivant, son descendant, Geoffroy de Joinville fit construire dans l'enceinte du château une église qui devint la collégiale Saint-Laurent. Jusqu'au XVIIe siècle, la collégiale Saint-Laurent servit de sépulture aux seigneurs, puis princes de Joinville. À la Révolution, le château d'en haut et la collégiale Saint-Laurent furent détruits.
Sont encore visibles à Joinville le château du Grand Jardin, édifié au XVIe siècle par Claude de Lorraine, premier duc de Guise, sa chapelle, son parc et la sépulture des anciens seigneurs de Joinville, dont les ossements furent rassemblés en 1841 dans le cimetière communal.
Guise ([ɡɥiz]) est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Guise se situe dans le nord de l'Aisne, entre les anciens pays du Vermandois et de la Thiérache, à mi-distance entre les villes de Saint-Quentin et de Vervins.
La ville de Guise, que surplombe le donjon de son château fort, est arrosée par la rivière Oise, affluent de la Seine (à Conflans-Sainte-Honorine), et bénéficie du canal de la Sambre à l'Oise.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Vervins à 20 km à vol d'oiseau, est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,3 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Guise est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,. Elle appartient à l'unité urbaine de Guise, une unité urbaine monocommunale de 4 824 habitants en 2017, constituant une ville isolée,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guise, dont elle est la commune-centre. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,3 %), prairies (12,8 %), zones urbanisées (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), forêts (2,2 %).
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Le nom de Guise est issu d'un mot en ancien allemand, Wiese (« pâturage » ou « pré »). La ville a aussi été appelée Wieze en flamand et en néerlandais.
Le village et le premier château au XIe siècle se nomment en latin médiéval Guisia, ce qui est attesté pour 1050,.
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Beaupré et Réunion-sur-Oise.
Au XXIe siècle, une étymologie populaire (erronée) de Guise est « gué sur l'Oise » (le nom de l'Oise en ancien français étant « Ise »).
La bourgade de Guise, capitale excentrée de la Thiérache, s'est développée à l'ombre d'un puissant château fort placé sur ses hauteurs. La terre de Guise est qualifiée de comté à partir du XIIIe siècle[réf. souhaitée] elle est érigée en duché-pairie en 1528. Les seigneurs de Guise, comtes puis ducs de Guise, sont issus d'une branche cadette de la maison de Lorraine.
La forteresse de Guise contrôle la rivière Oise. Il existe, encore aujourd'hui, d'importants vestiges de cette bourgade fortifiée, élément du système de fortification du Nord du royaume de France au temps de la Renaissance, même si la forteresse et la ville ancienne sont sorties très abîmées de la Première Guerre mondiale.
À la mort du duc Louis II d'Anjou son père (1417), le roi René d'Anjou reçoit la terre de Guise qui sera érigée en comté[réf. souhaitée] par son beau-frère le futur Charles VII. Les Anjou sont partisans du dauphin et le duc de Bedford, régent au nom du roi d'Angleterre Henri VI, confisque leurs possessions au nord de la Loire et attribue Guise à Jean II de Luxembourg-Ligny, qui prend Guise en 1425.
Guise, chef-lieu de pays sous l'Ancien Régime, devient chef-lieu de canton de l'arrondissement de Vervins du département de l'Aisne en 1790.
La ville de Guise est aux premières loges de l'expérience sociale de Jean-Baptiste André Godin au XIXe siècle. Il choisit Guise pour y implanter son phalanstère, lieu de vie communautaire imaginé par l'utopiste Charles Fourier : le familistère de Guise.
L'essor des transports pondéreux sur l'Oise et la révolution industrielle du XIXe siècle permettent plus concrètement le développement de la ville desservie par le chemin de fer du Nord ainsi que l'implantation d'usines modernes. Parmi ces dernières, qui viennent compléter l'activité des carrières et de la tannerie, de la métallurgie et de la fonderie, la maison Godin produit des appareils de chauffage : les poêles Godin.
De 1875 à 1966, Guise a eu un important trafic ferroviaire. À partir de la gare, inaugurée en 1892, aujourd'hui désaffectée et transformée en habitation, les voyageurs pouvaient partir pour de nombreuses destinations ; d’abord vers Saint-Quentin, par Lesquielles-Saint-Germain, Origny-Sainte-Benoite, Ribemont grâce à la ligne de chemin de fer secondaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, exploitée de 1875 jusqu’en 1966, date de la dernière desserte de voyageurs de la ville.
En 1896 est créée la ligne de Laon au Cateau qui passe par Guise, fermée au service voyageurs en 1937. De 1900 à 1950, on peut utiliser une autre ligne de chemin de fer secondaire, celle du chemin de fer de Guise au Catelet en passant par Seboncourt et Bohain. À partir de 1910, le chemin de fer de Guise à Hirson dessert la ville en passant par Beaurain. Cette ligne est fermée à la desserte voyageurs en 1951 puis au trafic marchandises en 1976.
Pour éviter de contourner la butte du fort, un tunnel de plus de 500 m a été creusé. Il a eu la particularité d'abriter sous sa voûte deux lignes de chemins de fer d'écartements différents. Une voie métrique (d’écartement d’1 m) et une voie normale (d’écartement d’1,435 m), comme on peut le constater sur la carte postale prise par les Allemands au cours de la Première Guerre mondiale. Ce tunnel très endommagé par les bombardements a été reconstruit après 1919 et existe encore de nos jours ; ses extrémités sont fermées par des grilles.
La ville, qui a compté 8 000 habitants avant 1914, fut pendant la Première Guerre mondiale l'épicentre de deux batailles, en 1914 et en 1918 :
La ville est très largement détruite à la fin de la guerre et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le .
La population remonte à 7 100 habitants en 1923. Le canton de 21 communes s'est repeuplé après guerre et atteint 16 750 habitants Puis la population stagne pour entamer un lent déclin. La ville compte moins de 6 000 habitants depuis 2000.
Guise a absorbé en 1965 la commune de Flavigny-le-Petit.
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Vervins du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la troisième circonscription de l'Aisne.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Guise. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 19 à 45 communes.
La ville était le siège de la communauté de communes de la Région de Guise, créée fin 1993.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la petite Communauté de communes de la Thiérache d'Aumale a fusionné avec celle de la Région de Guise, pour former le , la communauté de communes Thiérache Sambre et Oise, dont Guise est le siège.
Lors des élections municipales de 2008, la liste menée par le maire sortant, Daniel Cuvellier, avec Hugues Cochet comme colistier, est réélue, mais Daniel Cuvellier démissionne en 2010. Des élections municipales partielles sont donc organisées, remportées par Hugues Cochet (DVG) (57,10 % des suffrages exprimés, 1 134 voix), attant celle menée par Cédric Lajeunesse (SE), qui obtient 852 voix (42,90 %).
Lors des élections municipales de 2014 dans l'Aisne, la liste menée par le maire sortant, Hugues Cochet, est seule candidate et donc élue dès le premier tour.
Lors des élections municipales de 2020 dans l'Aisne, la liste menée par le maire sortant Hugues Cochet (divers gauche) remporte l'élection dès le premier tour, avec 79,15 % soit 1 359 voix, 25 élus au conseil municipal et 14 élus au conseil communautaire, contre celle menée par Nicolas Maineray (également divers gauche), directeur du château-fort de Guise qui obtient 20.85 % des suffrages exprimés, et obtient 2 élus au conseil municipal et un élu au conseil communautaire,,.
Ville fleurie : trois fleurs attribuées en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 4 533 habitants, en diminution de 7,85 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,5 % la même année, alors qu'il est de 26,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 201 hommes pour 2 530 femmes, soit un taux de 53,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,26 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Les Ducales. Cette fête médiévale annuelle,,,, organisée depuis 2004 sur un week-end durant la deuxième moitié du mois de juin depuis l'édition 2018 (elle avait lieu auparavant début août), fut parfois désignée sous le nom de « Grandes heures médiévales de Guise ». Certaines troupes de reconstitution historique y assurent des prestations plus d'une fois, comme la Compagnie Excalibur Île-de-France, revenue à nouveau en 2010.
Aumale est une commune actuelle du département français de la Seine-Maritime. Son histoire est marquée par le long usage des titulaires de son nom.
Il a existé une famille d'Aumale, ancienne maison de chevalerie de Picardie, dont le premier membre connu fut Guillaume d'Aumale qui vivait en 1320. La filiation avec les seigneurs d'Aumale est hypothétique. Les armoiries de la famille d'Aumale se blasonnaient ainsi : D'argent à la bande de gueules chargée de trois besants d'or,.
Il meurt en 1053 et son frère Guy, comte de Ponthieu se révolte contre le duc Guillaume le Conquérant, qui le fait prisonnier et l'oblige à renoncer à Aumale, qu'il donne à sa demi-sœur Adélaïde de Normandie, veuve d'Enguerrand II.
Vers 1055 ou peu après, Aumale est définitivement rattaché à la Normandie.
En 1194, Philippe II Auguste, roi de France, confisque Aumale à Guillaume des Forts. Il confie le comté en 1204 à Renaud de Dammartin, ancien comte de Boulogne.
Le système de pairie d'Angleterre continuera à attribuer des titres de comte et duc liés à Aumale, mais en utilisant sa forme latine : Albemarle. Les « honneurs d'Aumale », un ensemble de terres dans le Yorkshire anciennement associé au titre normand, constituera le fief des comtes et ducs anglais.
Source La Morlière, d'après d'Hozier, page 186, dans Recueil de plusieurs nobles et illustres maison de Picardie, imprimé en 1642
Elle vend le duché d'Aumale à Louis Auguste de Bourbon duc du Maine, bâtard légitimé du roi Louis XIV et de Madame de Montespan.
Louis Joseph de Lorraine ou de Guise, né le , mort à Paris le , fut duc de Joyeuse et prince de Joinville de 1654 à 1671 ; duc de Guise de 1664 à 1671.
Il était fils de Louis de Lorraine-Guise, duc de Joyeuse, prince de Joinville, et de Françoise de Valois, duchesse d'Angoulême.
Il hérite de son père le duché de Joyeuse et la principauté de Joinville. À la mort de son oncle, Henri II de Lorraine-Guise, en 1664, il en reçoit le duché de Guise et, à Paris, l'hôtel de Guise, actuel hôtel de Soubise.
Il meurt de la petite vérole à Paris en 1671 et est inhumé dans la collégiale Saint Laurent de Joinville.
Il épouse à Saint-Germain-en-Laye, le , Élisabeth Marguerite d'Orléans (° 1646 † 1696), fille de Gaston de France, duc d'Orléans, dit « Monsieur », frère du roi (Louis XIII) et de Marguerite de Lorraine. Tous deux ont :
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