La Chapelle-en-Serval est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Capellois.
La Chapelle-en-Serval est située dans le sud du département de l'Oise, dans le Valois multien, à la limite avec le Val-d'Oise, le long de la très fréquentée RN 17 départementalisée sous le nom de RD 1017, et à une distance orthodromique de 33,5 km au nord-nord-est de Paris.
Elle est située dans le Parc naturel régional Oise-Pays de France.
Au début du XIXe siècle, le territoire de la Chapelle-en-Serval était mentionné comme « irrégulier, limité en grande partie par des routes et des allées de forêt, {ayant] sa dimension principale du nord au sud ; il forme une plaine presque toute sablonneuse , appuyée vers l'est au coteau de Montmélian, se prolongeant à l'ouest dans la forêt de Coye ».
La Chapelle-en-Serval compte six communes limitrophes, dont trois sont situées dans le département voisin du Val-d'Oise : Luzarches, Fosses et Survilliers.
Le découpage du territoire communal est quelque peu surprenant. Ainsi, la RD 1017, au sud du village, constitue la limite entre La Chapelle (à l'ouest) et Survilliers (à l'est). Survilliers arrive donc jusqu'à l'entrée sud du village, près de la zone artisanale, et La Chapelle arrive jusqu'aux dernières maisons du plateau de Fosses. Le centre commercial avec son hypermarché près de la gare de Survilliers-Fosses se situe par ailleurs sur la commune de La Chapelle, qui arrive également jusqu'aux premières maisons de Survilliers au lotissement du Petit Argenteuil.
D'autre part, bien que Orry-la-Ville soit située à l'ouest de La Chapelle, toute la forêt au sud d'Orry appartient également au territoire de La Chapelle. C'est ici, en forêt de Coye, mais aussi sur les champs entre Fosses et la lisière de la forêt, que La Chapelle rencontre Luzarches. La distance aérienne entre les centres respectifs de La Chapelle et Luzarches est de 8,3 km, et la distance routière de 11,5 km par la RD 118 et la RD 1016, en traversant cinq communes : Orry-la-Ville, Coye-la-Forêt, Lamorlaye, Asnières-sur-Oise et Chaumontel.
Quant à Plailly, village situé au sud-est de La Chapelle, le bois privé Garenne de la Justice au sud du village incombe à cette commune limitrophe. - Au nord de La Chapelle, la RD 1017 sert une nouvelle fois de limite entre La Chapelle et une commune voisine, Orry-la-Ville : le cimetière d'honneur militaire près du village et face à l'ancien haras de la Censière est situé sur le territoire d'Orry. Finalement, reste à signaler qu'à l'extrémité sud-est du bois communal de Pontarmé, se rencontrent quatre communes en un point : La Chapelle, Pontarmé, Plailly et Thiers-sur-Thève.
Cette dernière commune n'est toutefois pas limitrophe de La Chapelle.
Le ruisseau la Batarde et ses divers bras se trouve en limite nord du territoire communal.
C'est un sous-affluent de la Seine par l'Oise.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 15 km à vol d'oiseau, est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
La forêt de Chantilly couvre 209 ha du territoire de la commune, celui-ci totalisant 389 ha de territoire boisé (36 %). L'unique cours d'eau présent sur la commune est le ruisseau de la Bâtarde, qui prend sa source dans la zone d'étangs de pêche près de la RD 118 en direction de Plailly. Le ruisseau arrose quelques prés humides et se dirige d'abord vers le nord, puis vers le nord-ouest, pour rejoindre rapidement la Thève au hameau de Montgrésin. Le point le plus bas de la commune se situe au point Dremeux de la RD 1017 sur la Bâtarde, à 57 m au-dessus du niveau de la mer, à l'extrémité nord du territoire communal. Le point culminant, à 132 m, est localisé à l'extrémité du chemin rural des Essarts, en lisière sud de la forêt de Chantilly, et à la limite avec la commune de Luzarches. C'est également le point le plus occidental du territoire communal, sur le versant nord de la vallée de l'Ysieux. Du point de vue géologique, la commune comprend une carrière comportant d'importants gisements de fossiles.
Le patrimoine naturel et paysager de La Chapelle est protégé par deux ZNIEFF du type 1. La ZNIEFF n° national 220014323 « Massif forestier de Chantilly / Ermenonville » concerne sur La Chapelle l'ensemble des parcelles de la forêt de Chantilly. C'est en même temps un site naturel classé « Domaine de Chantilly », créé par arrêté du sur la base de la loi du 2 mai 1930 relative à la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque. La ZNIEFF n° national 220014325 « Bois de Morrière » porte essentiellement sur un bois de ce nom situé sur la commune de Plailly, mais englobe également toutes les forêts de La Chapelle à l'est de la RD 1017. Il s'agit plus particulièrement de la Garenne de la Chapelle, qui correspond au domaine privé des deux châteaux au sud de la RD 118 ; du Bois de la Grande Mare avec ses étangs de pêche et sa piste d'entraînement de chevaux au nord-est du territoire ; ainsi que de la Remise Saint-Germain, entre ce dernier bois et la RD 1017. Seulement la Remise Saint-Germain est en partie accessible au public grâce à la présence de chemins ruraux, dont notamment le CR no 11 dit de Thiers, qui part de l'allée Saint-Georges derrière la mairie et permet de rejoindre Thiers-sur-Thève et Pontarmé. Cette seconde ZNIEFF entre, sur le territoire de La Chapelle, dans le site classé « Forêts d'Ermenonville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, butte et clairière de Saint-Christophe », créé par arrêté du . Ce site couvre, en dehors des zones construites et d'une zone au nord-est de la mairie, la totalité du territoire communal au nord et au sud-est, avec le bois du Chenuet. Ainsi, toutes les forêts de La Chapelle-en-Serval ainsi que les pâturages au nord sont protégées soit par une ZNIEFF, soit par un site classé, soit par les deux types de protection. Finalement, l'ensemble de la commune fait partie du vaste site inscrit de la vallée de la Nonette, créé par arrêté du . Ce site inscrit a préfiguré le parc naturel régional Oise-Pays de France pour sa partie située dans l'Oise, créé par décret du et incorporant l'ensemble de la commune de La Chapelle. - Concernant la randonnée pédestre et équestre, les possibilités sont restreintes en dehors de la forêt de Chantilly et de ses massifs annexes, et en dehors du chemin rural déjà cité. Une piste cyclable relie toutefois La Chapelle et Orry-la-Ville.
La Chapelle-en-Serval est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.
Elle appartient à l'unité urbaine d'Orry-la-Ville, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes et 6 486 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne. Cette aire regroupe 1 929 communes,.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,9 %), terres arables (36 %), zones urbanisées (9,6 %), prairies (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 395, alors qu'il était de 1 233 en 2013 et de 1 072 en 2008.
Parmi ces logements, 91,7 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 62,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 36,9 % des appartements.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Chapelle-en-Serval en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière.
La Chapelle-en-Serval doit son développement dans le passé au carrefour routier où le village est établi. Le principal axe routier est l'ancienne route nationale 17 (actuelle RD 1017), orientée globalement dans un sens nord-sud. Localement appelée route des Flandres, elle relie la région parisienne à Senlis et Pont-Sainte-Maxence.
La distance routière de la capitale est de 39 km par la RD 1017 et l'autoroute A1, via le connecteur de Survilliers / Saint-Witz. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est à 16 km, et le chef-lieu d'arrondissement Senlis est éloigné de 10 km par la RD 1017. Une deuxième route importante est la RD 924a qui relie La Chapelle à Chantilly, distant de 10 km également. La RD 924a se sépare de la RD 1017 au monument aux morts, au nord du village. Sur le plan local, une route départementale orientée dans un sens est-ouest complète le réseau : la RD 118, en provenance de Plailly et à destination d'Orry-la-Ville, Coye-la-Forêt, Lamorlaye et la route nationale 16.
Le territoire communal est traversé par la ligne de chemin de fer Paris-Nord - Creil, non loin du village, mais La Chapelle ne dispose d'aucune gare. Par contre, trois gares sont assez proches de la commune. L'arrêt de La Borne Blanche à Orry-la-Ville est à seulement 2 km des lotissements à l'ouest du bourg et peut être rejoint à pied. Or, il n'est desservi que par le RER D qui met 39 min jusqu'à la gare de Paris-Nord.
De ce fait, la gare d'Orry-la-Ville - Coye joue un rôle plus important, car desservie également par le TER Hauts-de-France dont les trains sont sans arrêt entre cette gare et Paris, avec un temps de voyage de 19 minutes seulement. En outre, Orry-la-Ville - Coye est desservie par des trains pour Amiens et Compiègne.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 643, 644, 6207, 6213, 6222 et 6232 du réseau interurbain de l'Oise.
La commune est également desservie par le transport à la demande gratuit Flexobus.
La localité a été désignée comme La Cape-en-Servois, La Chape-en-Servois, La Chapelle-en-Sorval, La Chapelle-sous-Survilliers (Capa in Sylvanectensi , Cappa in Sylvense, Capella de Sorval en 1233 , Capella subtus .Sorvillare en 1281, Capella in Sorval en 1297, Capella in Sourval en 1427, Capella in Sorvillare en 1512, Capella supra Vallem en 1515).
Selon Louis Graves, « Le Serval, Sorval, Servois ou Servais, d'où la Chapelle a pris son nom, était une petite contrée dont Survilliers (Sorvillare) placé au centre, formait le chef-lieu naturel; elle s'étendait entre Saint-Witz , Vémars, Fosse, Qry et la rivière de Thève ».
Serval est, ici, un dérivé de serve, forme régionale de selve, issu du latin silva (forêt).
Durant la Révolution française, la commune porte les noms de Pierre-la-Montagne et de Rameuse.
La Chapelle est donné vers 1187, avec le fief d'Ory, par Guy III le Bouteiller, à l'église de Senlis, à condition de célébrer tous les ans un anniversaire en mémoire de Pierre l'Hermite son frère, archidiacre de Soissons, qui possédait ces terres et les lui avait laissées en héritage. Comme son nom l'indique, la localité n'était qu'une annexe ou succursale de la paroisse d'Orry-la-Ville, et il y avait dans l'étendue de son territoire une autre cure appelée Geni au XIIIe siècle, dont le patronage appartenait à l'abbaye Saint-Rémy de Senlis. La région s'étant dépeuplé par les épidémies, l'évêque de Senlis Adam de Chambly supprime en 1245 le titre de l'église de Geni, transféré peu-après à celle de La Chapelle qui devient alors indépendante d'Orry
En 1841, la commune est propriétaire du presbytère, légué en 1834 par l'abbé Massicot, une maison d'école, un lavoir, un jeu d'arc et deux hectares de friche. On y compte une distribution de poste aux lettres, un relais de poste aux chevaux, une carrière. « Le territoire boisé et sablonneux fournit peu de travail à la population qui comprend un grand nombre d'ouvriers en tout genre ».
Au début de la Première Guerre mondiale, les 3 et , après la bataille de Senlis, un détachement de cavaliers allemands campe à La Chapelle-en-Serval.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'école des cadres de La Chapelle-en-Serval est, avec celles d'Uriage et d'Écully et parmi plus d'une soixantaine d'établissements de ce type, l'une des trois écoles de cadres d'envergure nationale créées par le régime de Vichy. Située en zone occupée, elle se singularise par une orientation plus nettement collaborationniste.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Senlis. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Senlis.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.
La Chapelle-en-Serval est membre depuis 2014 de la communauté de communes de l'Aire Cantilienne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste sans étiquette menée par l'UMP Daniel Dray obtient la majorité relative des suffrages exprimés, avec 574 voix (42,70 %, 17 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par :
- Philippe Espercieux (DVD, 377 voix, 28,05 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Annick Pincé (DIV, 238 voix, 17,70 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Dominique Herent (DIV, 155 voix, 11,53 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 28,00 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste menée par le maire sortant Daniel Dray est la seule candidate et obtient donc la totalité des 515 suffrages exprimés. Ses 23 membres sont élus conseillers municipaux et 3 d'entre eux sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 69,84 % des électeurs se sont abstenus et 34,70 % d'entre-eux ont voté blanc ou nul.
La Chapelle-en-Serval est jumelée .
Les enfants de la commune sont scolarisés dans k’école élémentaire du Bois de Chêne. Ses effectifs sont de 176 écoliers. L'école accueille les enfants dans les classes du cycle des apprentissages fondamentaux (CP, CE1, CE2) et du cycle de consolidation (CM1, CM2). L'école proposait 8 classes pour un total de 176 élèves lors de la rentrée de l'année scolaire 2020, la totalité dans les classes de primaire. 34 élèves sont en CP. Le CE1 compte 34 élèves, 40 élèves sont en CE2, les CM1 sont 31 élèves et les CM2 36 élèves. L'école ne propose pas de classe de maternelle. Lors de la rentrée 2020, l'école n'accueillait pas d'enfant en situation de handicap dans le cadre du dispositif ULIS. La moyenne générale d'élèves par classe est donc de 22 élèves[réf. nécessaire].
La commune accueille le collège du Servois, construit en 1983 et agrandi en 2019.
Une maison médicale a ouvert en 2016.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 3 120 habitants, en augmentation de 5,98 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 531 hommes pour 1 609 femmes, soit un taux de 51,24 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
La Chapelle-en-Serval compte un monument historique sur son territoire :
On peut également signaler :
Village cité par Alexandre Dumas dans le Comte de Monte-Cristo lors de la fuite de Benedetto.
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